À l’heure où un volume croissant de sources et d’instruments de recherche renouvelle notre connaissance de la culture poético-musicale de la Renaissance, les savoirs littéraires et musicologiques ont tout intérêt à croiser leurs regards sur un objet commun, la poésie chantée.
Alors que beaucoup a été écrit sur les relations que Voltaire entretient avec les femmes, ce numéro aborde, à partir d’une interrogation sur « le sexe », un champ de recherche peu exploré : la réflexion critique s’inscrit dans une perspective théorique ouverte par les travaux de Michel Foucault.
Comment la Renaissance, si éprise d’unité, pour ne pas dire obsédée par la quête de l’unité, est-elle néanmoins parvenue à penser la diversité humaine ?