Les biens des dieux doivent-ils être soumis à l’impôt ou peuvent-ils, en sens contraire, bénéficier d’avantages fiscaux ? Les responsables religieux peuvent-ils, de droit, prélever des taxes ? Sous la direction de Marie-Christine Marcellesi et Anne-Valérie Pont, cet ouvrage montre comment l’État et les communautés cultuelles se sont progressivement distingués les uns des autres.
Cet ouvrage interroge la modernité du fait religieux dans les sociétés du Nord de l’Europe, et invite à l’étude de ses formes contemporaines au sein de sociétés réputées pour leur fort degré de sécularisation.