Comment peut-on voir Tête d’Or, ce mélange de tumulte, de cris de couleur et de douleur, et d’étrange poésie à la langue difficile, empreinte de symbolisme ? Voir la pièce de Paul Claudel, c’est accepter le choc de cette fresque qu’on dirait jaillie d’une sorte de pré-fauvisme.
Agrégation de Lettres modernes 2006
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